Le Centre ville

Lady Nombre de messages : 4 Date d'inscription : 27/03/2008

Rose-Eve avait parcourut un bon chemin pour arrivé ici. Elle qui restait dans les quartiers riches. À ce moment, elle alla jusqu'à se demander : -Qu'est-ce que je fais ici, moi?- Autour d'elle, la plus part des gens étaient... Médiocre! Certain n'était pas, non plus, très propre et il fallait dire que ça la dégoûtait au plus haut point. Certain semblait avoir une bonne hygiène par contre. Heureusement, elle n'était pas la seule personne de haute société à se promener à cet instant.

-Lysanne! Comme je suis heureuse de vous voir, ma chère, fit Rose-Eve.

La jeune femme, à peine plus âgé que Rose se tourna pour la regarder, lui offrant un charmant sourire, révélant toute son élégance, une élégance naturelle!

-Bonjour, Lady Rose-Eve, prononça-t-on alors.

Rose-Eve regarda l'homme au côté de Lysanne. Elle l'avait déjà vue quelque part, où? Elle ne se rappelait plus, mais bon. Elle lui adressa un maigre sourire, alors que lui décrochait son chapeau rond de sa tête pour lui faire une révérence.

-Nous allions chercher ma robe de marier, Rose.

-Robe de marier?

-Oui. Sir. Gabriel a demander à mes parents il y a deux jours et il désir me prendre pour épouse le plus tôt possible.

-Ah... Eh bien... Toutes mes félicitations, Sir., Lysanne... Je vais vous laisser. Bonne chance.

-Merci.

Puis elle les regarda partir. Quand à elle, elle était encore seule, dans cet endroit étrange, selon elle, mais tout de même, elle continua de se promener tranquillement.

C'était bel et bien une magnifique journée il fallait bien l'avouer. Isabella revenait du parc de Maflower d'où elle avait rencontré un être un peu mystérieux, mais très courtois qui l'avait aidé à trouver la sortie. Il fallait dire que maitnenant l'hiver passé et maintenant qu'elle était assez vieille pour se promener toute seule, eh bien elle en profitait agréablement. Dans la semaine, son père allait donner un grande fête dans leur demeure et tant qu'à y être, pourquoi pas aller faire quelques courses en passant? Demandant à son cocher de s'arreter devant une boutique doù elle avait commendé son costume asiatique, qui venait directement du quartier chinois de la partie de la vlle des immigrants, la jeune lady donnait une fortune pour l'avoir.

-Vous l'avez?

-Évidamment, j'ai du aller demander à quelques marins de la chercher en Chine et la voila.

Le vendeur qui se payait sa tête lui montra alors une robe ressemblant à ce qui pouvait être une sorte de lonue tunique exotique. Elle était d'un petit rose avec des des ornaments dorés. Isabella l'adorait. Posant sa bourse sur le comtoir, elle s'empressa d'aller le payer en laissant son porte-monaie sur la table tandis qu'elle s'élanceait rejoindre sa calèche à une rue plus loin très réveuse et insousiante.

Lady Nombre de messages : 4 Date d'inscription : 27/03/2008

Ses pas se faisaient toujours aussi léger. Rose-Eve machait tranquillement, sans se pressé, ses bras replier sur elle et la tête légèrement basse. Elle ne regardait pas vraiment devant elle, elle regardait plutôt ses pieds. Enfin, le fait d'être ainsi ne lui permit pas de voir devant elle les personnes qui se dépêchait. Lorsqu'elle fut percuté, elle sursauta, avant de voir le visage sale d'un blanc. Un frisson de dégoût la parcourut, alors qu'ils échangeaient un regard. Rose se poussa aussitôt, le laissant passer, tout en se frictionnant les bras, comme pour dégager la saleté qui s'était collé à sa peau.

L'homme quand à lui, lui avait sourit, avant de reprendre sa route, tout simplement, sans s'excuser de l'avoir bousculer de la sorte. Peut-être l'avait-il fait exprès! Rose-Eve porta une main à sa hanche, puis une seconde, avant d'ouvrir de grands yeux étonné. Elle n'avait plus sa bourse! Cet homme le lui avait volé! Rose-Eve soupira. Comment avait-elle pu être aussi naïve. Maintenant, elle se retrouvait sans un sous... Elle devrait retourner chez elle. Un nouveau soupir franchis ses lèvres.

Lady Rose-Eve Léonard avait alors fait demi tour, cette fois-ci faisant très attention. Elle regardait tout autour d'elle, avec un certain dédain, toujours. Elle avait envie de retourner à la maison et d'y rester enfermé. Elle détestait venir ici. Il y avait beau avoir toute la population du monde, riche comme pauvre, ici, mais Rose ne s'y sentait pas du tout à sa place. Elle préférait de loin être entourer de ses affaires et laisser les autres faire ses commissions à sa place.

Elle continua de marcher, jusqu'à ce qu'elle voit une calèche. Un sourire étira ses lèvres, puis elle s'en approcha très lentement. Finalement, elle aperçu une jeune femme qu'elle connaissait, ayant eue "l'obligeance" de la rencontrer durant des réunions, des bals, enfin durant des scènes où l'on retrouver une tonne de personnages hautement placé. Elle attendit alors que Isabella soit tout près.

-Lady Isabella, finit-elle par dire. Bonjour. Comment allez-vous?

Isabella marchait tranquillemet ses paquets dans ses bras se dirigeant maladroitement vers la cariole qui devrait la ramener chez elle. Le problème est que le temps était mauvais, les vents manquaient près de faire tomber la douce et délicate robe en soie de Chine qu'elle avait finalement eu pour la soirée du lendemain que donnerait son père. Il y avait quelques passants sur la rue, mais principalement, c'était de jeunes personnes employés pour accomplir bien des taches d'où la jeune femme se sentait quelque fois prise de pitié. Croisant deux petits enfants aux habits sales et queteux pour un peu de nourriture, la lady eut le coeur serré et posa délicatement ses paquets à terre pour leur donner quelques sous. Ce fut à cet instant que celle-ci remarqua qu'elle n'avait plus sa bourse.

Retournant rapidement au magasin, le chinois avait bel et bien sa bourse en main, mais celui-ci était n train de fouiller dedans en quête de trésor. En la revoyant, celui-ci s'excusa rapidement en la lui remettant et partit dans l'arrière boutique tandis qu'elle vérifiait si tout était là. Revenant auprès des orphelins qui lui brisaient le coeur, elle leur remit près de 10 Livres chacun. Si elle avait de l'argent, eh bien pourquoi pas en faire profiter les autres? Cela équivalait à une demeure pur quelques jours logés et nourris et peut-être qu'ils trouveraient alors un boulot. Ce petit geste aura peut-être changé leur vie.

Enfin, se redéplaceant vers la calèche se fut lorsqu'elle fut très près qu'une jeune femme plus jeune qu'elle vint à sa rencontre et que le chauffeur vinne prenne ses achats. Mlle Rose-Eve Léonard. Elle l'avait vu quelques fois lors de soirées, mais celle-ci avat toujours été bien distante avec elle. Son rang étant bien élevé au dessus d'elle, celle-ci lui devait du respect.

-Bien et vous? Voulez vous que mon cocher vous emmene quelque part? On dirait qu'il va bientot mouiller et si je me souviens bien, votre demeure est à quelques rues de la mienne.