Soirée pour James et Mary Philips( PV Isabella)

Comme tout bon gentleman, le père de Mary lui trouva un bon mari qu'elle n'aimait pas particulièrement mais qui était surtout très riche. Par contre, Mary cessa de protester le jour ou elle rencontra se magnifique jeune homme qui avait une personnalité qui allait parfaitement avec ses critères...La famille Philips était riche assez grande, voila pourquoi, au jour ou ils fêtèrent leur soirée de mariage, ils firent une tonne d'invitation a plusieurs famille....La maison était grandiose, théatrale et surtout spacieuse. La famille restèrent sur le classique. Une orchestre incroyablement bien payé, une décoration pourtant moins poussé mettant plutôt en valeur le marbre de la demeure et les lustres. Le soupé était organiser et servi par des chefs de haute cuisine. Les couples étaient bien présenté a l'entré et le niveau de débit était très controlé. Tous restait galant et joyeux même s'il ne l'était pas vraiment. Se fut un rendez-vous pour presque toutes la haute societé. Les entrés étaient bien gardé pour s'assurer qu'aucun rebel n'essayait d'entrer et tout se passerait a merveille, comme l'avait prévu James.

William Keith attendu les nouvelles....Un jeune très riche venait de se marier et toute une soirée avait été organiser. Jamais il n'allait s'absenter! Le propriétaire de l'Aphrodite's Iris était dans sa chambre, se préparant tel un véritable riche qui s'apprêtait a se rendre a la soirée. Comment un homme ne faisant point partit de la haute société put se rendre a cette soirée? William savait profité de chacun des avantages dont il possèdait. Son père, Oliver Reeve, un gentleman de la haute société ,était mort il y a un ans. William qui avait hérité du nom de sa mère, Sarah Keith, se présentait au soirée des contes sous le nom d'Alec Reeve,fils d'Oliver et passait facilement pour un des ses riches. Être galant c'était dans son sang, même si se n'était pas dans ses habitudes. Il sortit de sa maison close puis prit rapidement un carosse qui se rendit droit vers l'est. La maison des Philips avait un des plus grands territoire, mais n'était pas les plus riches, se qui rendait parfois la famille un peu jalouse d'être si près derrière une autre famille. Ses contes n'en avaient jamais assez, si seulement il pensait parfois a la misère des ouvriers, se sentiraient-ils un peu plus chanceux? Ou mépriseraient-ils simplement d'avantage ses citoyens? William n'avait jamais vraiment compris pourquoi être riche obligeait d'être snob...Mais il tentait de ne pas faire trop l'exeption pour ne pas être démarquer. Will descendit de son carosse, payant le cocher après avoir touché le cheval qui était une bête qui l'avait toujours fasciné. Mais ne le caresser qu'une seule fois voulant certainement pas sentir l'odeur de l'animal. Puis suivant la passerelle du manoir pour se rendre jusqu'a la grandre porte ou il donna son invitation. Puis il fit son premier pas sur le tapis de la demeure.

-Monsieur Alec Reeve, conte du Labrador....

Lacha un homme a la voix puissante derrière lui avant que William n'aye rencontrer quelques couples, faisant toujours la bise-main au femme, les complimentant suivant toujours d'un doux sourire et d'un regard possessif des maris. Will se trouva donc un quoi tranquille ou il commença sa chasse au jeune lady seule...

*Voyons voir pour ce soir...Voila Madame Elizabeth Wilson...Euhmm...Un peu vieille...Kate Doll?Non, c'est vrai je l'ai déja conquis a la soirée du Conte Black...Jenny Holly? Euhm...Je pense qu'elle a un fiancé...Et puis quoi, pourquoi pas...*

William s'approcha donc de la jeune femme qu'il salua et qu'il remarqua déja rougir devant sa préscence. C'était vrai qu'il était élégant et particulièrement charmant et elle, elle était une cible bien facile...William entendit la voix de Monsieur Philips dans son dos...

-Pardonnez-moi,cher Reeve, puis-je vous présentez a la jeune....

WIlliam se tourna, puis changea radicalement de cible a l'affu la lady qu'il avait sous les yeux.....

James était un lointain parent de la famille des Witherspoon. Il était supposément le frère de la cousine de son père par alliance du troisième degré ou bien quelque chose ainsi. C'est pourquoidonc la jeune Isabella et son père durent y aller évidamment. Assistant au mariage qui fut un peu long malgré tout, car le prête avait perdu ses lunettes, il y avait pourtant après une majestueuse soirée auquel la jeune femme ne oulait absolument pas manqué. Prenant leur carosse pour s'y diriger, son père fut alors pris d'un malaise et décida de retourner chez lui malheureusement laissant aors à son unique héritière le soin de le représenter et de représenter la noblesse de sa famille.

Portant une robe rouge à l'allure un peu espagnol qui avait été portée par sa feue mère qui était originaire de ce pays autrefois, simple, mais laissant ses cheveux de couleurs très foncé et ses yeux presques couleur charbon, ce fut plutot le teint de sa peau qui pouvait être remarqué devenant très pale dans ses moments, ce qui plusieurs dames enviaient. Ses joues étaient légèrement rosées, mais ses lèvres étaient de la même couleur qu'une rose rouge. Puis, ornant son cou, ce fut un simple collier de perle tout simplement accompagné de boucles d'oreilles fait du même matériaux. Bref, elle était jolie et c'est ainsi que la jeune lady se dirigea vers la soirée timidement sahant qu'un grand poids repoait sur ses épaules.

Discutant avec la mariée et son cousin éloigné, des musiciens jouant un peu plus loin où déja des valseurs s'étaient mis en piste, l'époux vint à discuter avec un inconnu qui état caché par sa carrure, mais finalement, celui-ci se retourna pour laisser à sa vue un homme terriblement charmant, il fallait se l'avouer. Isabella dut alors baisser les yeux sentant son coeur battre à tout romptre devant lui. Il répondait à Reeves.

-La jeune Isabella Witherspoon, fille du lord de Witherspoon qui n,a pas malheureusement pu venir à cette soirée à cause d'un malaise. J'espère qu'il ira mieux bientot. Enfin, si je me souviens bien ma chère cousine, je crois que vous êtes cavalière seule, non?

-Oui en effet...

Dit-elle timidement malgré en essayant de se reprendre. L'homme était tout simplement troublant. Relevant le regard après un certain moment, elle prit au vol un ver de champagne et elle en bu quelques gorgées. Le pire était qu'elle ne prenait jamais d'alcool!

Elle était parfaite....Jeune, belle, seule et surtout, innocente. Un désir brulait en Will de pouvoir la prendre dans ses bras de la laisser savoir qu'il était la et cette envie de la protéger, de l'avoir rien que pour lui...Will planta ses deux yeux bleus admiratif dans son regard fragile. Il fut éblouit par sa beauté, il avait déja rencontrer plusieurs magnifique jeune femme, mais rare avait l'élégance et un sourire aussi charmant. Isabella était une cible parfaite. C'était peut-être surtout se a quoi pensait Keith en se moment. Mais, William ne se priva par de lui prendre sa main de libre puis de se pencher légèrement vers elle pour lui baiser la main. Relevant la tête vers elle avec toujours se petit sourire charmeur, hypnotisant...parfait. Le jeune homme lacha donc doucement.

-J'ai enfin l'honneur de rencontrer la plus belle perle de Londres,milady...

Le jeune propriétaire garda tout de même de la retenue dans ses compliments, car s'il n'aurait pas été devant une jeune femme de la haute société, il saurait exprimer assez différement. A sa maison close, il saurait bien plus rapprocher et il aurait utiliser un vocabulaire que les gens de la hautes société aurait classifier grossié. Le jeune homme invita donc la jeune femme a danser, il la libéra de son verre qu'il ne toucha pas puis lui tendit son bras.

Ses yeux bleus, elle n'en n'avait jamais vu d'aussi profond et Isabella avait vraiment l'impression qu'il pouvait lire ses pensées, qu'il pouvait l'obliger à faire quoi que ce soit et elle accepterait. Son souffle était coupé devant tant de prestance et surtout qu'il la regardait, la charmait du regard, la lady n'avait juste qu'une envie, de fondre comme neige au soleil. En s'approchant toujours galamment, celui qui répondait au nom de Alec Reeves lui prit tendrement sa main pour lui poser ses lèvres. Le simple contact de ses lèvres contre sa main lui procura un doux frisson.

- Je... vous êtes trop flatteur Monsieur Reeves...

Dit-elle poliment en essayant malgré tout de rester convenable. La plus belle femme de tout Londres, il devait exagérer. Elle ne se trouvait que jolie, bien normale en sahant que bien d'autre la surpassait en beauté, mais évidamment, ele était une perle enfouie au fond de l'océan dans une huitre. Il ne fallait qu'aller la chercher... Enfin, il lui débarssa de son verre en le glissant légèrement sur le plateau d'un des serveurs puis lui proposa son bras. Évidamment, la jeune femme le prit et se laissa conduire jusqu'au milieu de la piste de danse d'où bien des regards jaloux s'élanceaient sur elle, mais que trp predue dans le regard de William, elle ne fit réellement attention.

William l'amena donc poliment sur la piste de danse. Il prit sa main puis plaça l'autre un peu au dessus de sa taille, déja un peu plus basse qu'a la majorité des autres hommes galant. Se n'était pas une impolitesse, c'était une façon poli pour un homme riche de faire une petite avance. Le jeune homme traina donc la lady sous des pas de danses pourtant assez compliqué mais Isabella n'avait qu'a suivre le lead, qui était bien evidement le jeune homme. On avait toujours l'impression dans sur ses pistes de riche que chacun avait un chemin bien tracé et qu'il le suivait, car les gens de la haute société se déplaçait beaucoup sur une piste mais il n'y avait jamais de colision! William cassait un peu le rythme a certains moment pour, au moment ou il reprenait les pas traditionnels, rentrait au rythme parfait avec l'orchestre. Sa souplesse était impressionnante et ses pas étaient hypnotisant, le nommé Alec était chanceux de possedé la grâce car la danse est son deuxième plus grand talent après, son loisir, si vous suivez......William finit par calmer le rythme de ses pas, mais ne regardait jamais ses pieds ou ses mains. Comme bon gentleman, il l'a fixait toujours. Gardant ses yeux de l'eau, tantôt bleu tantôt gris, tout dépendant de son humeur, dans les yeux de charbon pourtant innocent de la jeune femme. Le rebel, garda donc se rythme doux et simple pendant un petit instant, il avait déja montré de quoi il était capable au moment précédent. C'est pourquoi, il fit exprès de manière innoncente un faux pas, s'avançant au lieu de reculer, qui le rapprocha de la jeune femme. Pendant un bref instant, son torse toucha la robe d'Isabella et quelque peu ses courbes...Mais il ne se retira pas, ne bougeant pas, n'était pas du tout mal a l'aise il la laissa se reculer, sachant bien que elle, n'allait pas rester coller a lui. Mais le jeune homme s'excusa rapidement, mais ironiquement...Il avait été insencer de tenir parfaitement des pas compliqué et essoufflant puis se tromper dans une valse de base!

-Excusez-moi de ma maladresse...

Dit-il par la suite en l'invitant a rejoindre sa table en lui tendant son bras. Marchant vers leur table, William souriait car il savait qu'Isabelle avait reconnu que son geste avait été intentionnel d'un certains sens et mais surtout, son petit regard un peu innocent, avait été parfaitement charmant!

Isabella aimait bien danser, mais rares avaient été les fois où quelqu'un l'avait invitée et encore plus rarement avaient été les fois où elle avait été la cavalière d'un homme si charmant et, commen dire, séduisant c'est certain. Alors, venant la porter jusqu'au milieu de la piste de danse, Alec vint alors chercher sa main avant d'aller poser la cienne sur sa hanche, mais pas très loin de ses cuisses ou de ses fesses. Il fallait dir qu'elle ne détestait pas cela et on retour, elle lui souria. Toutes les demoiselles restantes sur les chaises plus loin se retrouvèrent indignées du comportement de leur cousine, amie ou connaissance. Enfin, l'homme commencea à la conduire sous ses pas et sous la musique entrainante, la faisant tourner, lever et rire de bonheur, elle adorait danser, mais surtout danser avec lui finalement. Ses cheveux virvoltaient de tous les cotés et il n,arretait pas de la fixer intensément. Puis, la misuque devint plus lente pour une valse française et après un moiment ou le cavalier avait été parfait, celui-ci avancea au lieu de reculer tandis que la jeune femme avait suivi d'une certaine manière et qu'ils s'étaient retrouvés devant. Cela lui oprit peut-être quelques secondes à réaliser avant de se reculer les joues rosées et timidement.

-Vous êtes pardonné... J'aurais du réaliser que... enfin, c'est aussi ma faute en quelque sorte.

Murmura-t-elle lorsqu'il la reconduisait à sa table. libre et seule dans un coin au fond de la salle, ils allaient êtres tranquilles. Évidamment, Isabella savait qu'il avait fait cette faute intentionnellement, mais que pouvait-elle bien dire ou faire à présent? Se laissant pousser sa chaise galamment, il vint prendre place à ses cotés. Du coin de l'oeil, le nouveau marié regardait sa cousine tout content pour elle et espérant bien qu'ils seraient invité prochainement à son mariage si tout allait bien.

William prit place près d'elle, après lui avoir tirer sa chaise. On lui proposa a boire mais le jeune homme refusa respectueusement, a vrai dire, après avoir vu se nombre d'hommes, dans les maison closes, saouls et pathétique, le jeune homme préfèrait s'éloigner le plus possible de l'alcool. Il faisait partit de ses rares sobre dans ses temps, mais il avait été dégouté par l'alcool en jeune âge. Le jeune homme regarda Megara de ses yeux, mais comme a son habitude, Will avait toujours une idée de se qu'il allait dire ou faire. Il s'approcha d'elle, en premier, gardant toujours ses yeux sur elle...Il comptait bien parler un peu puis après, proposer une marche a l'extérieur pour aller récolter peut-être un premier baiser, puis il allait étendre la soirée jusqu'a arriver a son objectif. Du moins, Will avait toujours réussi a embrasser ses cibles, mais n'arrivait pas toujours a son objectif. Il le lisait dans les yeux des ladys, ceux qui refusait le reste de la nuit, en avait pourtant bien envie. Le propriétaire de l'Aphrodite's Iris restait souvent étonné de la loyauté des gens de la haute société. Il n'y avait pas que des impurs comme son propre père.

-Dites-moi,Isabella,avez-vous déja voyager?

Lui demanda doucement William,la prononçant pas son prénom, ne lachant jamais son regard. Peut-être ne l'avait-elle même pas entendu, elle aurait facilement put se perdre dans ses yeux.

Il était galant, incroyablement beau et en plus il était de bonne famille. Si Alec lui demandait de l'épouser sur le champs, il était presque certain qu'Isabella ne pourrait vraiment refuser.sa demande et évidamment que la jeune femme s'en réjourait énormément. Refusant l'alcool proposé, lui évitant de repenser à toutes les fois où elle avait entendu des histoires d'où l'époux battait sa femme à cause de cette boisson qu'elle ne buvait que dans de rares occasions comme dans les marriages ou la soudaine montée de chaleur qui s'était produit lorsque ses yeux de fer et de charbon avaient croisé ceux de saphirs qu'il avait. Sa présense était réconfortante, douce, rassurante. Enfin, il s'approcha près d'elle.

-Non... enfin, pas en dehors du pays, mais j'aimerais tellement visiter la France, l'Italie, l'Autriche et l'Espagne... Ma mère venait de là.

C'était peut-être ce qui expliquait un peu son apparence. Ses cheveux foncés presque noirs et ses yeux d'une couleur unique sous sa peau presque blanche qui devenait rosé lorsqu'elle devenait timide, Enfin, elle ne savait pas grand chose de lui, malgré tout alors elle se risqua dans une question. Pourvue qu'elle puisse avoir l'air un peu intelligeante.

-Alors... Comment se fait-il qu'un être comme vous se retrouve seul, à moins que vous êtes déjà marrié?

William n'avait jamais été très curieux de voir comment vont les choses ailleurs, il avait beaucoup voyager pour des raisons personnels mais jamais il n'était partit ailleur que pour son propre plaisir. Il aimait bien voir de nouveau entourage mais n'aimait pas quitter son chez-soi trop longtemps. Même s'il donne l'impression de s'adapter rapidement et de ne rien craindre, Will a toujours préférer connaitre son entourage avec préscision. Se qui lui a toujours donner un véritable sentiment de confiance. Puis, pour la première fois de la soirée, la jeune timide engagea le premier pas. Elle posa une question au dénommé Alec, mais se dernier savait bien pourquoi elle voulait savoir cette information. Il arqua un sourcil, mais gardait toujours un sourire non pas offusqué, mais charmeur et ses yeux pétillants.

-Vous vous permettez de poser des question sur ma vie privée?

William savait qu'il venait de la rendre mal a l'aise. C'était certains, mais elle pouvait tout de même voir dans son visage qu'il trouvait son innocence charmant et qu'il ne détestait pas parler de sa vie privé...En faite, de la vie privé d'Alec.

-Si vous me posez cette question, j'imagine que c'est parce que je vous intéresse?

Lacha-t-il avec son petit malice et sa voix douce come le miel. Son regard hypnotisant cherchait les yeux bas d'Isabella. Pour une excuse valable de compte il aurait pu dire qu'il cherchait la bonne femme, car beaucoup s'intéressait a lui mais lui s'intéressait sincèrement a peu d'entre elle. Pourtant, en tant que propiétaire d'une maison close, il pouvait simplement dire qu'il n'allait jamais se marier car c'était pas son truc et qu'il n'était pas très fidel. William se contenta par contre de garder cette façade du riche mystérieux. Ne donnant aucune information préscises, se qui limitait les doutes de sa véritable identiter et qui charmait particulièrement Isabella. Le jeune homme se permit donc de s'approcher d'avantage vis-a-vis son silence entendait qu'elle parle enfin...

L'histoire d.amour entre son pèr et sa mère avait été un peu extraordinaire quand on la comparait ;à celle de la majorité des lords et ladies de tout l'Angleterre. Sa mère avait été une actrice, chose qui était plus que mal vu dans la société et son père, un lord de haute naissance. Ceux-ci se voyaient en cachette peu après une repésentation d'où la jeune femme avait démontré son talent aux spectateurs. Mis les parents de ceux-ci le désapprouvait totalement, donc ils s'enfuirent à Paris pendant quelques mois d'où ils se marièrent, eurent une petite fille et que sa mère mourrut d'une maladie. Peu après la pere décida de retourner à Londres pour y élevé son enfant, son dernier bien précieux.

Mais voila que Alec avait su reprit sa question pour la lui renvoyer sans qu'elle ne pense à lui demander encore une fois la réponse. Il savait détourner les question. Enfin, celui-ci lui lancea un commentaire d'où elle baissa les yeux et se mordit le coin des lèvres, tic qu'elle avait depuis son tout jeune age, quand lorsque ses grand-parents la grondaient. Ses joues redevenant plus rouge qu'à l'habitude, la jeune femme ne sut quoi répndre, quoi dire ou quoi faire. La deuxième question la trombla davantage.Il était plus que certain qu'il l'intéressait, mais elle ne pouvait dire cela ainsi devant tous qui la regardait.

-Je me demandais... tout simplement. Il est vrai que vous êtes... enfin, vous piquez ma curiosité en autres mots...

Il la regarda toujours même quand elle baissa les yeux lui, ne se recula pas ou ne regarda point ailleur. Il continuait de fixer son regard, même bas. Elle semblait avoir tourner les yeux vers le monde qui les entouraient avant de répondre timidement, les joues complètement rouges. William avait sa réponse, oui, elle était intéresser par lui. Le jeune homme savait bien qu'elle n'allait rien dire de présci devant la haute société presque entière. Alors se fut le bon moment de l'invité a sortir dehors. Il faisait bien chaud ici, mais c'était surtout une parfaite excuse pour se retrouver dehors seuls avec elle.

-Je vous invite a sortir a l'extérieur, c'est une belle soirée et je suis certains de satisfaire votre curiosité, avec un peu d'intimité...

Lacha-t-il cherchant a l'inquièter légèrement sur son intension de mettre les pieds dehors mais gardant toujours le mystère sur ces véritables idées. Il se leva puis devant son petit regard charmeur, elle ne pouvait vraiment dire non. En plus, le jeune homme voulait seulement lui parler après tout, il n'oserait pas lui faire du mal ou faire quoi que se soit qu'elle ne voudrait pas....

Que devait-elle faire, que devait-elle bien dire ou agir? De toute sa vie, c'était la fois où elle se sentait le plus perdue. Quelque chose l'intriguait, Alec n'était pas comme tous les autres, c'était bien plus qu'évidant, mais malgré tout, c'était comme si quelqu'un à son oreille lui disait d'avancer, de se laisser charmer, hypnotiser tandis qu'une autre lui disait de ne pas lui faire confiance. Son coeur battait tellement vite, elle commenceait à se sentir quelque peu mal croyant manquer d'air. Peut-être était-ce tout simplement son corset trop serré ou bien l'alcool, mais quelque chose n'allait pas. Elle finit parcontre par relever les yeux quelques secondes. Ilétait le maitre et elle le pantin cela se voyait. Bien du monde la regardait et lorsque celui-ci lui proposa d'aller dehors, elle fit un signe de tête positif, mais ce fut la suite qui la figea, en un peu plus d'intimité. Ses yeux devinrent inquiets, de quoi parlait-il? Oui, ele avait entendu des histoires sordides de meutres dans le quartier et pourquoi n,avait-elle jamais rencontré cet homme?

-Un peu d'air rais me fera du bien... je commence à me sentir mal...

Murmura--elle en prenant son bras et pendant qu'elle mettait son chale sur ses épaules. Sa peau était devenue totalement blanche et ses joues n'étaient pas aussi rosés. Se laissant trainer vers la sotie elle remercia du regard son cousin et aspirant quelques bouffées d'air frais, elle commencea à se détendre même si elle fermait les yeux frequamment et posait sa tête quelques fois su son épaule. La journée avait été longue.

William prit sa main qu'elle entoura autour de son bras. Le jeune homme la traina ensuite dans la grande court des Philips. Un grand jardins entourait les chemins de pierres, la pelouse était parfaite et le tout était décoré de quelques fontaines ici et la. A quelques endroits, sur les paserelles en pierre, il y avait des bancs. Will marcha un peu en sa compagnie, tandis qu'elle posait sa tête sur son épaule de temps a autre puis lacha un petit commentaire.

-Vous semblez fatiguer...Venez prenons le temps d'aller s'asseoir...

Le dénommé Alec alla donc s'asseoir sur un banc avec elle. Le ciel était magnifique ce soir, les étoiles étaient très visibles. William se tenu près d'Isabella, puis commença.

-Vous connaissez les astres, Miss Witherspoon?

Will ne connaissait pas les astres, mais quand une jeune femme ne vous connait pas et vous pense riche et intelligent, on pouvait prendre n'importe lequel occasion pour inventer n'importe quoi. Seulement, Isabella n'était pas idiote a un point de croire se qu'il allait dire, car le ton de romance et d'Ironie qui suivit dans sa voix lui prouva qu'il cherhchait simplement a la charmer d'avantage.

-D'après ce ciel étoilé, il est dit que vous feriez une magnifique rencontre ce soir et que votre beauté, saura chavirer son coeur et que lui, vous volera le vôtre...

William regarda le ciel puis se tourna vers elle. Il était clair que tout avait sortit de son esprit, mais pourquoi ne pas l'embarquer dans un petit jeu tourbillonnant entre la romance et la stupidité. Pourtant, son regard et sa voix gardait le même charisme. Quand l'on possède une telle emprise sur les femmes, on pouvait bien dire n'importe quoi, la majorité ne vous écoutait pas, elle vous regardait! Mais Will sentait au contraire qu'Isabella portait beaucoup plus attention a sa parole. Pour elle, oui son physique était attirant, mais elle semblait charmer par sa personnalité également.

Les jardins de la demeure des Phillips était totalement incroyable. Il y avait tellement de plantes, de fleurs , des fontaines, des sculptures et même un petit cours d'eau aménagé pour la vue. Il y avait quelquescygnes qui s'y baignaient nageant gracieusement sous la pleine lune. Le domaine devait faire des hectares, cen'était pas du hasard qu cette Mary l'avait épousé même si dans un certain cas, Isabella déplorait cette mannière sournoise des mairages forcés, car cela allat bientot être à son tour. Marchant lentement profitant bien du paysage fabuleux, le malaise de la jeune femme ommenceait à s'estomper. Il fallait dire qu'elle avait eu une grosse journée de festivités et quel'on tombait à présent dans les petites heures du matin. Enfin, après un petit moment, le supposé gentlemen lui consiella alors d'aller se reposer un peu sur un banc non loin de là. Situé dans un gazebo protégeant de la nit au cas où, c'était une roseraie qui l'entouraitsans oublier une autre grosse fontaine. S'assoyant contre lui, aimant réellement sa compagnie, Alec commencea à lui parler d'étoiles et celle-ci l'écouta attentivement. Flattée par ses paroles, sourant légèrement, ses joues rosées, elle acha quelques paroles malgré tout.

-Et vous qu'en pensez-vous?

Dit-elle en relevant son regard vers lui, les yeux refletant les étoiles de l'univers et en remarquant à quel point son visage était pres du sien, leurs nez,se frolant presque. Mais lors, la lady fut alors hypnotisée par les yeux profond de l'océan, comme un serpent qui chassait sa proie, il l'avait maintnant à sa mercie...

Les yeux de William se perdurent dans les siens, le noir de ses yeux faisaient refletter les étoiles. Leur visage était près l'un de l'autre, près a aller chercher un premier baiser. Le jeune homme la regarda pendant un court instant, pencha sa tête en même temps de glisser ses quelques paroles.

-J'en pense...que...

Mais il ne trouva plus ses mots, car ses lèvres touchèrent les siennes. Il ferma doucement les yeux, y mettant une véritable passion, il leva une de ses main qu'il vient glisser dans son cou, caressant sa joue de son pouce. Le premier baiser était important pour William, s'il voulait l'hypnotiser pour de bon et être capable de l'enivrer suffisament pour qu'elle désire le revoir, il lui fallait y mettre plus que sa passion. Il fallait que se soit parfait.

Le jeune homme ne voulait plus quitter se moment, même s'il savait qu'il ne risquait de ne plus jamais la revoir. Ce n'était peut-être pas sa première rencontre passionné, mais WIlliam ignorait vraiment a quel point elle se pensait amoureuse. Isabella n'avait peut-être pas le laisser partir, sans un mot. Le jeune homme allait donc profiter de ses derniers moments, car les heures passèrent sans qu'il ne le voit.

C'était bien se que WIlliam préfèrait de sa région. S'il aurait vraiment été William Reeves...Il aurait pu tomber en amour avec elle, mais le père d'Isabella aurait pu la promettre a un autre homme, plus riche, plus honnête et leur amour aurait disparu. Dans ses quartiers, on avait au moins la chance d'aimer qui on voulait. C'était pourquoi il était fier de se nommé Keith. Aucun honneur ne tombe sur son nom mais au moins, il avait de la liberté.

C'était son premier baiser à vie, fermant les yeux se laissant aller. Jamais, oh grand jamais elle n'aurait crut que cette soirée à l'apprence première d'ordinaire et comme d'habitude redonnerait autant de surprises. Ses lèvres contre les siennes, son souffle caud su sa peau, jamais de toute sa vie elle n'avaitété aussi proche du paradis. Sa main toucha sa peau monta lentement, lui procurant des frissons plus il montait. Elle s'en était douter toute la soirée, enfin une partie d'elle en faites. Peut-être qu'elle l'avait plus espérer aussi, plus que d'autre chose. Alec passa par sa nuque, son cou pour venir caresser sa joue tandis qu'elle s'offrait a lui sans aucune résistance, mais pourtant, pour la première fois de la soirée, ils étaient sur un pied d'escale, ca le'homme semblait désiré et aimé ce baiser autant que la lady. Ell parcontre lui répondit de la même mannière, en venant caresser sa joue délicatement, puis en approchant encore plus son visage du sien. Elle avait peut-être manquer d'air, cela faisait déja quelques minutes et même peut-être des heures plus langoureuses que les précédentes.

William ne savait pas l,histoire d'amour de ses parents, il en serait surprit. Son père, lord, très élevé dans la succession même du trone, peut-être le 21e, était tombé en amour avec une actrice catholique en plus. Aussi pire qu'une catin. C'était pourquoi elle n'était sur aucun arbre généalogique, mais au moins,le deuxieme nom de la jeune femme était Lousiana, pour qua sa mémoire ne s'éfface jamais d'elle.

-ENFIN JE VOUS RETROUVE...

S'écria un homme dont Isabella ne connaissait pas C'était l'époux d'une des anciennes conquetes du propriétaire qui lui avait succombé. Aussitot, celle-ci se recula légèrement mettant fin au baiser, puis pouss uncri horrifié en voyant le pistolet pointés sur eux sans savoir qu'elle n,avait aucune affaire dans tout cela.

Pourtant, leur moment de pur bonheur fut rapidement interrompu par une voix grave et enragé. William connaissait cet homme, il l'avait vu auprès d'une des femmes qu'il avait courtisé une de ses nuits. Le jeune homme par contre était inquiet. Impulsif et colèrique, il risquait de tirer mais William resta donc calme.

-Je peux vous aider?

-Moque toi pas de moi! Tu sais très bien pourquoi je suis la, t'aurais jamais du t'approcher de--

-Oui, je sais...Je ne l'ai jamais forcé a faire quoique ce soit!

Le coeur de William battait plus vite, il avait peur de la mort, peur de la douleur et ne pouvait cacher son inquiètude face a cet homme. AU moins, il ne visait pas Isabella de son arme, il ne visait que le courreur de jupon qui avait conquit sa femme. Will mit son bras devant le ventre d'Isabella, pour l'empêcher de faire un mouvement ne serait-ce que par hasard, de se mettre devant lui. Il ne voulait pas prendre se risque. Le riche pointait toujours son arme, il n'était pas un meurtrier, il tremblait et avait peur de se qu'il allait faire. Il était simplement révolter et ne savait pas vraiment que tirer sur la cachette signifiait de tuer. Pour des gangs de rue, c'est un jeu d'enfant. Mais pour un honnête riche avec une réputation, c'est autre chose.

-Tu n'aurais jamais du la toucher, tu n'aurais jamais du l'em-

-JE SAIS! D'accord! Maintenant, poste ton arme et réglons ça entre nous, si tu veux bien...

William le coupa en haussa la voix pour être certains qu'Isabella n'entendre pas le reste de sa phrase. Si seulement elle savait se qu'il faisait vraiment dans ses soirées, il risquait de la perdre, enfin, elle risquait ne plus jamais vouloir le voir. Le jeune homme garda son arme pointé, tandis que Will continuait de l'encourager de poser l'arme. Après un certains temps, c'est se qu'il fit, toujours sur les nerfs, respirant profondément. Une fois l'arme a terre, William se leva doucement, les deux bras vers l'avant vers le riche pour s'assurer qu'il ne fasse aucun mouvement. Puis William s'avança un peu, n'osant pas toucher le jeune colèrique, puis en un instant, il lui assena un coup de point violent au visage. L'homme ne saignait pas, mais il resta inconscient sous le choc. William se tourna vers Isabella, avait-elle compris se qui c'était passer? Avait-elle peur de lui? OU était-elle seulement inquiète pour lui et se foutait du colèrique? Will l'ignorait, mais son rythme cardiaque se calma tandis qu'il lui dit d'un air presser.

-Je dois partir! Je ne peux plus rester...

Allait-elle vouloir le suivre? Allait-elle le laisser partir avec regret ou avec dégout? Était-il désormais qu'un courreur de jupon ou un véritable amant? William avait juste le temps de voir sa réaction avant de devoir fuir.

Isabella tremblait de tout son être visiblement terrifiée. Jamais de toute sa vie elle avait apercut une arme ou bien être das la cible de une. On pouvait entendre sa espiration, tandis qu'elle commenceait à se demander quoi faire ou comment réagir. Allait-elle mourir? Sa vie allait-elle alors finir à 21 ans et quelques jours? Alec de son coté demeurait le plus calme qu'on pouvait l'être dans une situation cmme tel. La jeune femme ne comprenait rien de ce qui se passait entre les deux hommes, peut-être qu'ils se connaissaient? Mais ce fut le mouvement du bras contre elle qu'elle remarqua le plus. Il tenait à ell au point de vouloir la protéger en la cachant légèrement derrière lui. Enfin, le gentlemen finit par poser son arme sous les argumentations de son cavalier qui se leva très doucement avant de venir vers lui en mettant ses mains devant lui.Ce ne fut que quelques secondes plutard qu'un incroyable coup de poing le mit chaos et que l'intrus tombe inconscient sur le sol. Il prit même l'arme pour la déposer dans un vase plus loin avant de se retourner vers la lady qui n'avait point dit un mot. Elle ne comprenait plus rien.

-Je ne sais plus...

Dit-elle visiblement perdue dans ses pensées et dans les derniers événements avant de regarder de nouveau celui qui lui avait volé son coeur. Se levant, puis s'avanceant en contournant le corps, elle vint prendre son bras malgré tout. Le passé était le passé et ce qu'il avait fait e l'intéressait point, seul le présent comptait, surtout qu'Isabella croyait qu'il deviendrait son époux. Le fait qu'ils retournent ensemble de leur escapable donnerait surement moins de doutes. Il voulait partir mais celle-ci le conduisit jusqu'à sa cariole d'où elle demanda au chauffeur de partir vers sa demeure.

-Avez-vous un endro où aller?

William n'avait pas le temps de comprendre ou de s'expliquer. Mais elle l'apporta rapidement a son cariole. Will avait en effet un endroit ou aller, l'Aphrodite's Iris. Mais dans ce cas, ce n'était pas vraiment un endroit qu'il devrait nommer devant Isabella. Le jeune homme était particulièrement soulagé de pouvoir rester près d'elle, qu'elle agissait comme si elle n'avait rien comprit. Le propriétaire du Aphrodite entra donc dans la cariole avec la lady puis lui répondit.

-Non en effet, j'ai nul part ou aller. J'espère que ma préscence ne vous gène pas...?

Lacha-t-il doucement, désormais beaucoup pls calme et sur auprès d'elle. Son petit regard charmeur faisait rayonner son petit sourire malicieux quand il vint chercher sa main pour la rassurer.

(HJ: Pas grand inspi dans ma classe d'info!^^''')

Il fallat dire que l'événement venait de la troubler en plus grand lieu. Qu'est-ce que Alec avait-il bien pu faire si en étais coupable? Il fallait dire que bien des pensées trimballaient dans sa tête, son regard pluot vide lorsqu'elle s'assit dans sa cariolle et qu'elle demanda simplement au chauffeur de la faire retourner chez elle. Aussitot, les renes se firent claquer et les cheveaux partirent sous une petite cadence. Le supposé gentlemen était assit à coté d'elle tandis qu'elle ne disait plus un mot. Enfin, à sa question, elle remua tout simplement la tête d'un signe négatif tandis qu'Isabella regardait par la fenêtre. Des nuages venaient de cacher la pleine lune qui les avaient éclairés quelques minutes auparavent. C'était maintenant un malaise qui régnait dans la petite pièce. Et pourquoi n'avait-il point d'endroit où aller, il était conte, non? Puis, il essaya tout doucement à la regagner en se rapprochant davantage et en venant prendre sa main docilement. Mais presque aussitot, la lady s'éloigna.

-Que vous voulait-il?

Murmura-t-elle sans le regarder. Peut-être qu'elle avait à coté d'elle un tueur ou un être dont elle ignorait completement qui il était. D'un simple moment qui avait gacher le plus beau de sa vie, c'était rendu q'elle doutait, qu'elle était inquiète. Il lui faudrait tout recommencer à zéro ou presque...

On peut dire que rien n'avait vraiment tourné comme WIll l'aurait voulu. Ce fou qui l'avait menacé avait vraiment tout gaché. Isabella semblait distante, effrayer. Elle commençait a comprendre ou peut-être a tout mettre de travers, mais elle réalisait qu'elle n'avait pas un simple riche devant elle. Il n'était pas pas du tout cela en effet. Peut-être que tout aurait été parfait s'ils n'auraient pas été interrompu...Mais dans le fond, les relations de Will ne sera jamais parfaite, car aucune lady n'accepterait sans révolte d'être marier a un homme qui vit grâce a des catins. William, la sentit s'éloigner et c'était la partie la plus dure de devoir s'expliquer. Il ne voulait pas lui mentir mais inventé un problème serait tout a fait stupide. Le jeune homme leva les yeux dehors quand elle s'éloigna de lui, demandant des explications mais n'osant pas le regarder. Le dénommé Alec fit de petits signes négatifs de la tête en lacha un petit sourire ironique. Ça n'avait plus de sens, il perdait son temps.

-Arrêtez-vous...

-Pardonnez-moi Monsieur?

-Arrêtez-vous!

Répéta le jeune homme en haussa la voix, le caucher s'arrêta sans poser aucune autre question. Will ouvrit la porte avant que l'autre ne vienne lui ouvrir. La porte toujours ouverte, le jeune homme descendit puis resta planter la, devant la porte debout, dos a Isabella. Il tourna seulement sa tête vers elle, chacune de ses respirations étaient démarquer dans l'air pas la nuit fraîche. Puis Will lacha de sa voix si parfaite.

-Je vous perderai si je vous l'expliquerais...Mais, comme les choses tournent présentement, je crois vous avoir déja perdu...

Puis William se mit simplement a marcher, il lui fallait revenir chez lui.

Regardant dehors sans de réelle expression sur son visage, son esprit demeurait tout de même pensif. Qui était-il finalemnent, quel sorte d'être se cachait-il sous ses grands et magnifiques yux bleus angéliques? Une partie d'elle voulait vraiment le découvrir malgré tout, la curiosité peut-être. Son baiser langoureux avait été une des meilleures choses de sa vie et son coeur battait différemment depuis. Le gout des lèvres sur les siennes était resté. Enfin, l'homme impatient ordonna au chauffeur de la cariolle de bien vouloir s'arreter. Il s'était mis à pleuvoir et sous un air bien intrigué celle-ci le regarda quitter la petite pièce bien incrédule. Alec lui disait qu'il l'avait perdu à quoi bon de continuer. C'est à lors qu'il commencea à marcher.

-Attendez...

Dit-elle assez fortement pour qu'il l'entende. Enfin, elle débarqua aussi du char tndis que les gouttes de pluie commenceaient à tomber. Il était la devant elle et comme elle donnerait cher pour l'embrasser de nouveau, un autre fois, une derniere fois, mais peut-être que finalement, il ne l'a désirait point... Faisant quelques pas silencieux, elle le regarda.

-Je ne sai que dire pour vous voir revenir c'est un fait, mais je sais que je cometerais une grave erreure si je vous laisserais partir ainsi sans répliquer. Lorsque vous m'avez embrasser, mon premier baiser, vous avez éveillé tant de choses en moi et c'est pour cela que je ne veux vous voir partir de ma vie aussitot, peut importe qui vous êtes...

William s'arrêta, sa douce voix résonna ses oreilles lui demandant de s'arrêté. La pluie tombait sur son visage mais le jeune homme resta indifférent. Will ne se retourna donc pas, mais écouta doucement ses paroles. Elle ne le connaissait pas c'était certains, quand on est véritablement en amour, c'est facile de dire que l'on est près a tout, car c'est le meilleur aveuglement. Le jeune homme se tourna vers elle, il la regarda, il s'approcha vers elle...Will la regarda longuement, plongeant son regard dans le sien, le propriétaire du Aphrodite's Iris laissa ses yeux langoureux la charmer. Puis il vint prendre sa joue dans sa main pour poser un baiser passionné sur ses lèvres, peut-être bien le dernier. Ensuite il se retira doucement, gardant sa main sur sa joue puis vint lui chuchoter a l'oreille.

-Au revoir, Bella...

Un surnom et une façon de lui dire comment il la trouvait belle. Le jeune homme n'ajouta rien, il ne voulait lui dire rien de plus, sur se qu'il pouvait bien ressentir. Il ne voulait pas plier...Will se retira, se retourna et disparu dans la pluie...

(en directe de l'école lol)

Il s'était finalement arreté, à son grand soulagement. Il commenceait à pleuvoir, les premières gouttes tombaient dans les alentours comme à son habitude quoi. Le temps pouvait être si mauvais à Londres. Enfin, l'homme ne bougea point durant son petit discours au loin, puis après plusieurs longues secodnes, il se retourna au lieu de continuer son chemin. S'approchant lentement, mais surement, les yeux d'Isabella brillaient d'une petite lueure d'espoir qui grandissait de plus en plus à chaques pas qu'il faisait. À quelques pas seulement encore une fois il s'arreta et la jeune femme ne le lachait point du regard. Sans un mot, ils ne faisaient que se regarder. Alec vint alors prendre sa joue de sa main tendrement puis revenir l'embrasser encore une fois aussi passionément. Son coeur battait encore à tout romptre lorsqu'il la lacha et s'approcha de son oreille pour lui murmurer que c'était la fin.

Cela la crispa entièrement et sans un autre regard vers elle, il partit dans la brume. La pluie tombait à grand flot à présent et la lady ne bougeait plus comme si une partie d'elle venait de s'envoler. Puis, après de longues minutes sous la pluie, le cocher arriva près d'elle disant qu'elle risquait d'être gripée ou malade si elle restait encore ici et enfin, Isabella embarqua dans le carosse, le visage vide et le coeur brisé.
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» Lady Isabella Marissa Lousiana Montartre de Witherspoon
» Redimension ^^(question pour Megara ^^)